Jean-François Lapierre
Mon poste de professeur au département de sciences biologiques de l'Université de Montréal est le fruit d'un parcours qui m'a amené à faire un baccalauréat (biologie) et une maîtrise (sciences de l'environnement) à l'UQTR, un doctorat (biologie) à l'UQAM et un postdoctorat (landscape limnology) à Michigan State University. En parallèle, ce parcours m'a amené à fonder une grande famille (selon les standards modernes...) et à développer des habiletés en rénovations et en brassage de bière artisanale. Il est donc naturel qu'un de mes objectifs principaux en tant que chercheur est de bâtir un environnement de recherche accueillant et stimulant, aidant celles et ceux qui en font partie à développer l'expertise nécessaire à leurs plans de carrière et à apprécier leur parcours en recherche autant que son aboutissement!
Marie-Christine Lafrenière
Étudiante au doctorat (co-supervision avec M. Amyot). 2019-
Marie-Christine a rejoint l’équipe après sa deuxième année au baccalauréat en sciences biologiques pour étudier les concentrations de métaux de terres rares dans le fleuve St-Laurent. Sa première année de terrain à abord du navire de recherche Lampsilis lui a permis d’effectuer un cheminement honor au baccalauréat sur ce sujet et de l’explorer jusqu’à la maîtrise. Après trois années de terrain sur le fleuve St-Laurent, elle a rapidement développé un intérêt pour la gestion ou la contamination des eaux usées. Son intérêt pour la qualité de l’eau s’est reflété en communication scientifique en participant à des ateliers de vulgarisation sur les effets des inondations au Québec au festival de sciences Eurêka! et à des ateliers et conférences sur la qualité de l’eau et sa contamination avec le projet SEUR de l’UdeM.
Marie-Christine a rejoint l’équipe après sa deuxième année au baccalauréat en sciences biologiques pour étudier les concentrations de métaux de terres rares dans le fleuve St-Laurent. Sa première année de terrain à abord du navire de recherche Lampsilis lui a permis d’effectuer un cheminement honor au baccalauréat sur ce sujet et de l’explorer jusqu’à la maîtrise. Après trois années de terrain sur le fleuve St-Laurent, elle a rapidement développé un intérêt pour la gestion ou la contamination des eaux usées. Son intérêt pour la qualité de l’eau s’est reflété en communication scientifique en participant à des ateliers de vulgarisation sur les effets des inondations au Québec au festival de sciences Eurêka! et à des ateliers et conférences sur la qualité de l’eau et sa contamination avec le projet SEUR de l’UdeM.
Jade Dormoy-Boulanger
Étudiante au doctorat (co-supervision avec F Guillemette). 2021-
Suite à une réorientation de carrière avec plus de 7 ans dans le domaine pharmaceutique, Jade est retournée sur les bancs d’école pour compléter son baccalauréat en sciences biologique spécialité écologie, biodiversité et évolution) à l’Université de Montréal en 2016. Elle a ensuite continué avec une maîtrise en biologie à l’UQAM sous la supervision de Beatrix Beisner (UQAM) et de Rene Gregory-Eaves (McGill). Ce projet portait sur l’influence des changements climatiques sur les cyanobactéries en rivières… Jade doit être une des seules à trouver artistique et magnifique une fleur d’eau d’algues bleu-vert. Pour son projet de doctorat, elle travaillera sur l’effet de l’activité humaine sur le cycle du carbone dans les rivières de la vallée du Saint-Laurent. Si elle n’est pas derrière son écran à faire des statistiques, Jade est probablement sortie jouer dehors avec ses filles, les deux pieds dans l’eau! |
Adrien Simonet
Étudiant au PhD (co-cupervisé par F. Guillemette, UQTR). 2022-
A la suite d’un diplôme d’ingénieur en environnement (ENSEGID, Bordeaux) et d’une brève expérience professionnelle en écologie des milieux estuariens, j’ai décidé, en 2021, de suivre le master 2 d’écologie des milieux de montagne de l’Université Savoie Mont-Blanc (France). Ceci m’a aujourd’hui amené à réaliser mon stage au sein du laboratoire de Jean-François Lapierre afin d'étudier le transport et la transformation de la matière organique à travers le continuum terre-eau des bassins versants boréaux. En soit, comme le montre mon parcours, je suis intéressé par les différents domaines de l’écologie aquatique et par les milieux qui y sont associés. Leur importance, les différents enjeux qui y sont associés ainsi que leurs liens avec la notion de changement climatique constituent des points d’intérêts centraux. J’affectionne aussi les aspects pluri et interdisciplinaires affiliés à ces domaines et plus généralement au niveau des sciences de l’environnement.
Une bonne partie de mes intérêts personnels restent ancrés aux milieux aquatiques et aux activités de plein air : aquariophilie, plongée sous-marine, randonnées et voyages divers
A la suite d’un diplôme d’ingénieur en environnement (ENSEGID, Bordeaux) et d’une brève expérience professionnelle en écologie des milieux estuariens, j’ai décidé, en 2021, de suivre le master 2 d’écologie des milieux de montagne de l’Université Savoie Mont-Blanc (France). Ceci m’a aujourd’hui amené à réaliser mon stage au sein du laboratoire de Jean-François Lapierre afin d'étudier le transport et la transformation de la matière organique à travers le continuum terre-eau des bassins versants boréaux. En soit, comme le montre mon parcours, je suis intéressé par les différents domaines de l’écologie aquatique et par les milieux qui y sont associés. Leur importance, les différents enjeux qui y sont associés ainsi que leurs liens avec la notion de changement climatique constituent des points d’intérêts centraux. J’affectionne aussi les aspects pluri et interdisciplinaires affiliés à ces domaines et plus généralement au niveau des sciences de l’environnement.
Une bonne partie de mes intérêts personnels restent ancrés aux milieux aquatiques et aux activités de plein air : aquariophilie, plongée sous-marine, randonnées et voyages divers
Aude Flamand
Professionnelle de recherche. 2024-
À la suite d’un baccalauréat en biochimie à l’université de Concordia à Montréal, Aude s’est dirigée vers le domaine de l’océanographie géochimique dans le laboratoire de Gwénaëlle Chaillou à l’ISMER-UQAR. Le projet de maitrise d’Aude se concentre sur l’étude de la matière et du carbone organique issues du dégel du pergélisol côtier dans la région de la mer de Beaufort. Aude s’intéresse de manière plus générale aux impacts des changements climatiques sur les systèmes aquatiques ainsi qu’à la vulgarisation scientifique. Quand elle n’est pas sur le terrain, dans le laboratoire ou derrière son ordinateur on peut la retrouver en train de cuisiner de bons petits plats, ou en randonnées avec son chien. Vous pouvez suivre ses aventures sur son blogue qu’elle a tenu dans le cadre de son terrain à Tuktoyakukt, TNO : audeflamand.wordpress.com. Dans le laboratoire, elle travaillera sur les patrons d'accumulation de carbone et de mercure dans les sédiments de lacs boréaux et sur l'intégration des processus affectant la transformation de la matière organique dissoute à l'échelle du bassin versant.
À la suite d’un baccalauréat en biochimie à l’université de Concordia à Montréal, Aude s’est dirigée vers le domaine de l’océanographie géochimique dans le laboratoire de Gwénaëlle Chaillou à l’ISMER-UQAR. Le projet de maitrise d’Aude se concentre sur l’étude de la matière et du carbone organique issues du dégel du pergélisol côtier dans la région de la mer de Beaufort. Aude s’intéresse de manière plus générale aux impacts des changements climatiques sur les systèmes aquatiques ainsi qu’à la vulgarisation scientifique. Quand elle n’est pas sur le terrain, dans le laboratoire ou derrière son ordinateur on peut la retrouver en train de cuisiner de bons petits plats, ou en randonnées avec son chien. Vous pouvez suivre ses aventures sur son blogue qu’elle a tenu dans le cadre de son terrain à Tuktoyakukt, TNO : audeflamand.wordpress.com. Dans le laboratoire, elle travaillera sur les patrons d'accumulation de carbone et de mercure dans les sédiments de lacs boréaux et sur l'intégration des processus affectant la transformation de la matière organique dissoute à l'échelle du bassin versant.
Mathilde BélairÉtudiante à la maitrise. 2021-
Titulaire d’un baccalauréat en biologie à l’université McGill, Mathilde rejoint l’équipe par sa passion et sa curiosité pour l’études des lacs qu’elle décrits comme étant des écosystèmes si précieux et magnifiques. Pour son projet de maitrise, elle s’intéresse aux impacts et aux facteurs biogéochimiques causé par des perturbations naturelles tel que des feux de forêts dans les bassins versants, sur la structure thermique et le budget du carbone dans les lacs – deux propriétés importantes contrôlant la santé de la vie aquatique et de la qualité de l’eau. Dans ses temps libre, Mathilde adore faire de la randonné, du camping, voyager, ou faire du tricot, tout en écoutant de la musique. |
Maude CamiréÉtudiante à la maitrise (co-supervision avec P.-L. Chagnon, Agriculture Canada). 2023-
Depuis que je suis toute jeune, les vastes paysages naturels ainsi que la manière dont les organismes interagissent entre eux ont toujours piqués ma curiosité. C'est en navigant sur les lacs du Québec et en marchant en forêt pendant la majorité de mes étés avec mon grand-père que j'ai développé mon amour pour l'écologie. Après avoir exploré de manière professionnelle le milieu culinaire, ainsi que le milieu paramédical, j'ai réorienté mon choix de carrière vers ma première passion: l'écologie. Je suis présentement à la fin d'un baccalauréat en biologie dans la spéciation écologie, biodiversité et évolution à l'Université de Montréal, et j'aspire à faire une maitrise en recherche. Je suis particulièrement passionné par les lacs, les sols, la végétation et les champignons! J'occupe mes temps libres en jouant au badminton entre amies, en tricottant, en faisant des sorties plein air ou encore en faisant de la moto l'été. |
Mariane St-Aubin
Étudiante à la maitrise (co-supervision avec M. Amyot, UdeM). 2022-
Mariane est étudiante à la maîtrise en sciences biologiques au sein de la Chaire de recherche du Canada en écotoxicologie et changements mondiaux, où elle investigue les impacts biogéochimiques d’une première centrale hydroélectrique au-fil-de-l’eau construite au Nunavik (Inukjuak, Québec). Sur les bancs d’école, elle affectionne particulièrement le destin des contaminants dans l’environnement et les enjeux d’injustice environnementale. Originaire de Montréal, elle y a obtenu une technique en bioécologie au Cégep de Saint-Laurent, ainsi qu’un baccalauréat en biologie à l’Université du Québec à Montréal. Elle a ensuite erré dans l’espace-temps, de la restauration de récifs coralliens honduriens au suivi des grands mammifères marins nord-côtiers, avant de compléter un DESS en gestion de l’environnement. Artiste auto-proclamée et plongeuse amateure à ses heures, elle est également chargée de projet en conservation de la nature depuis trois ans. À temps perdu, elle apprend à broder ou découvre le pays, accompagnée de son chien qui n’est jamais bien loin.
Mariane est étudiante à la maîtrise en sciences biologiques au sein de la Chaire de recherche du Canada en écotoxicologie et changements mondiaux, où elle investigue les impacts biogéochimiques d’une première centrale hydroélectrique au-fil-de-l’eau construite au Nunavik (Inukjuak, Québec). Sur les bancs d’école, elle affectionne particulièrement le destin des contaminants dans l’environnement et les enjeux d’injustice environnementale. Originaire de Montréal, elle y a obtenu une technique en bioécologie au Cégep de Saint-Laurent, ainsi qu’un baccalauréat en biologie à l’Université du Québec à Montréal. Elle a ensuite erré dans l’espace-temps, de la restauration de récifs coralliens honduriens au suivi des grands mammifères marins nord-côtiers, avant de compléter un DESS en gestion de l’environnement. Artiste auto-proclamée et plongeuse amateure à ses heures, elle est également chargée de projet en conservation de la nature depuis trois ans. À temps perdu, elle apprend à broder ou découvre le pays, accompagnée de son chien qui n’est jamais bien loin.
Leïa Lafrance
Étudiante à la maitrise (co-supervision avec M. Amyot, UdeM). 2023-
Mon intérêt pour la biologie m’a été révélé grâce à un cours optionnel d’écologie et d’environnement pendant mon parcours au cégep. Ainsi, j’ai obtenu un baccalauréat en sciences biologiques de l’Université de Montréal, avec une spécialisation en biodiversité, écologie et évolution. Ce sont les cours d’écologie aquatique qui m’ont toujours le plus intéressée, ce qui m’a naturellement poussé à poursuivre mes études à la maîtrise de recherche sur ce même sujet. Mes intérêts de recherche portent principalement sur les milieux aquatiques d’eau douce et comment les changements climatiques constituent un enjeu important pour la santé de ceux-ci. Je m’intéresse également à l’écotoxicologie, plus particulièrement aux contaminants dans les écosystèmes aquatiques. Mon projet de maîtrise porte sur la saisonnalité du couplage entre le mercure (Hg) et le carbone (C) dans un bassin versant forestier d’écosystème tempéré. Je m’intéresse au transport et à la transformation de ses éléments dans le continuum terrestre-aquatique à travers les saisons, pour tenter de mieux comprendre la réponse d’un bassin versant canadien aux changements climatiques. Même si je passe une bonne partie de ma maîtrise dans la forêt, dans mes temps libres j’aime y retourner pour faire de la randonnée et tout autre sport de plein air. J’occupe aussi mes temps libres avec des parties de volleyball et du yoga !
Mon intérêt pour la biologie m’a été révélé grâce à un cours optionnel d’écologie et d’environnement pendant mon parcours au cégep. Ainsi, j’ai obtenu un baccalauréat en sciences biologiques de l’Université de Montréal, avec une spécialisation en biodiversité, écologie et évolution. Ce sont les cours d’écologie aquatique qui m’ont toujours le plus intéressée, ce qui m’a naturellement poussé à poursuivre mes études à la maîtrise de recherche sur ce même sujet. Mes intérêts de recherche portent principalement sur les milieux aquatiques d’eau douce et comment les changements climatiques constituent un enjeu important pour la santé de ceux-ci. Je m’intéresse également à l’écotoxicologie, plus particulièrement aux contaminants dans les écosystèmes aquatiques. Mon projet de maîtrise porte sur la saisonnalité du couplage entre le mercure (Hg) et le carbone (C) dans un bassin versant forestier d’écosystème tempéré. Je m’intéresse au transport et à la transformation de ses éléments dans le continuum terrestre-aquatique à travers les saisons, pour tenter de mieux comprendre la réponse d’un bassin versant canadien aux changements climatiques. Même si je passe une bonne partie de ma maîtrise dans la forêt, dans mes temps libres j’aime y retourner pour faire de la randonnée et tout autre sport de plein air. J’occupe aussi mes temps libres avec des parties de volleyball et du yoga !
Lily Pflieger
Étudiante au BSc. 2024-
La nature m’a toujours inspirée et guidée dans chacune des étapes qui ont jalonné ma vie, le choix de mon domaine d’études ne faisant pas exception. Ainsi, je vais commencer ma dernière année de Baccalauréat en biologie, visant un parcours Honor au sein du laboratoire. Mon intérêt pour l’écologie a vu le jour lors des nombreuses rencontres que j’ai eues avec la nature et ses habitants lors de mon enfance, en France, où mes parents m’ont initiée très jeune aux observations d’oiseaux, identification de fleurs ou encore aux phénomènes hydrologiques. J’ai ainsi pris conscience de l’importance de chaque entité constituant les écosystèmes mais également de la complexité de ces derniers ainsi que de l’envie et du devoir que j’avais de les comprendre. Mon rôle pour cet été est celui de stagiaire qui deviendra celui d’étudiante au projet Honor à l’automne. Mon temps libre est constitué de randonnées, d’observations fauniques et d'aventures en forêt, ma curiosité me poussant à apprendre et m'interroger sur tous ces beaux sujets. Quelle joie de faire partie de ce groupe de recherche !
La nature m’a toujours inspirée et guidée dans chacune des étapes qui ont jalonné ma vie, le choix de mon domaine d’études ne faisant pas exception. Ainsi, je vais commencer ma dernière année de Baccalauréat en biologie, visant un parcours Honor au sein du laboratoire. Mon intérêt pour l’écologie a vu le jour lors des nombreuses rencontres que j’ai eues avec la nature et ses habitants lors de mon enfance, en France, où mes parents m’ont initiée très jeune aux observations d’oiseaux, identification de fleurs ou encore aux phénomènes hydrologiques. J’ai ainsi pris conscience de l’importance de chaque entité constituant les écosystèmes mais également de la complexité de ces derniers ainsi que de l’envie et du devoir que j’avais de les comprendre. Mon rôle pour cet été est celui de stagiaire qui deviendra celui d’étudiante au projet Honor à l’automne. Mon temps libre est constitué de randonnées, d’observations fauniques et d'aventures en forêt, ma curiosité me poussant à apprendre et m'interroger sur tous ces beaux sujets. Quelle joie de faire partie de ce groupe de recherche !
Gabriela Criado
Étudiante au BSc. 2024-
D’origine franco-espagnole je suis toujours partante pour les aventures multiculturelles et c’est en vivant pendant 2 ans au Costa Rica que mon intérêt pour la biologie n’a fait que se renforcer. C’est dans les forêts nuageuses de Santa Elena que mon désir de protéger cette biodiversité s’est affirmé. Je souhaite apprendre le fonctionnement du vivant en partant de sa composition jusqu’au plus grandes interactions au niveau des écosystèmes pour mieux les protéger. C’est ensuite, en arrivant au Québec que mon intérêt s’est dirigé vers sa fabuleuse biodiversité avec ses lacs, ses forêts et ses habitants. Je suis présentement en dernière année de baccalauréat en sciences biologiques dans la spéciation biodiversité, écologie et évolution. C’est avec joie que je fais partie de l’équipe de Lapierre pour l’été 2024 pour réaliser un stage de recherche.
J’occupe mon temps libre à faire des balades en nature, que ce soit à pied, à vélo, ou encore à cheval, être en forêt me remplit de bonheur. J’adore passer du temps avec mes amis et ma famille toujours avec un peu de sport entremêlé.
D’origine franco-espagnole je suis toujours partante pour les aventures multiculturelles et c’est en vivant pendant 2 ans au Costa Rica que mon intérêt pour la biologie n’a fait que se renforcer. C’est dans les forêts nuageuses de Santa Elena que mon désir de protéger cette biodiversité s’est affirmé. Je souhaite apprendre le fonctionnement du vivant en partant de sa composition jusqu’au plus grandes interactions au niveau des écosystèmes pour mieux les protéger. C’est ensuite, en arrivant au Québec que mon intérêt s’est dirigé vers sa fabuleuse biodiversité avec ses lacs, ses forêts et ses habitants. Je suis présentement en dernière année de baccalauréat en sciences biologiques dans la spéciation biodiversité, écologie et évolution. C’est avec joie que je fais partie de l’équipe de Lapierre pour l’été 2024 pour réaliser un stage de recherche.
J’occupe mon temps libre à faire des balades en nature, que ce soit à pied, à vélo, ou encore à cheval, être en forêt me remplit de bonheur. J’adore passer du temps avec mes amis et ma famille toujours avec un peu de sport entremêlé.